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21/03/2014

Jacques Rebotier et Edward Perraud

 

le Pot aux Roses, poésie, QuimperJacques Rebotier

Poète, Jacques Rebotier a notamment écrit : Sortir de ce corps (Créaphis), Le moment que (Spectres familiers), L'attente (Æncrages) Le désordre des langages, 1, 2 et 3 (Les Solitaires intempestifs), L’empierreuse, (Harpo et) , Litaniques (Gallimard), Le dos de la langue (Gallimard).

Son Théâtre est publié aux Solitaires intempestifs.
Auteur et metteur en scène, Jacques Rebotier fabrique des spectacles dérangeants et joyeux qui allient une écriture exigeante au sens de l'insolite, ou plutôt de l'"incongru": ce qui refuse de se mélanger.
Il a fondé la compagnie voQue: voix, invocation, équivoque aussi.

Y circulent, par dessous les frontières, poésie, roman-photo, lecture-performance, théâtre-installation, danse, musique.

Derniers spectacles :Réponse à la question précédente, La vie est courbe, Théâtre de l’Athénée, Vengeance tardive, .Théâtre national de Strasbourg, Eloge de l'ombre de Tanizaki (mise en scène), Théâtre des Amandiers, (Voir plus haut), spectacle de cirque-théâtre, Chalons-en-Champagne, Avignon, Zoo-musique, Grenoble, Frontière-frontière, Forbach-Saarbruck, Le théâtre des questions, utopie-spectacle.en cours dans de nombreux pays.

Dernières œuvres musicales Plages, La musique adoucit les sons, Requiem, 66 Brèves pour 66 instrumentistes, Chants de ménage et d’amour.

Edward Perraudle Pot aux Roses, poésie, Quimper


Une frénésie de jouer, dans le plus pur sens du terme, une soif de musique et de création qui le conduisent à embrasser tous les genres, sans a priori.
Il commence la guitare à l’âge de huit ans, puis apprend le trombone et la percussion classique au CNR de Rennes. Après une maîtrise de musicologie à l’Université de Rennes, il s’intègre dès 1996 le cursus doctoral de l’IRCAM avec Hugues Dufour où il obtient un DEA (EHESS/ENS/IRCAM) concernant l’analyse de la musique de Tristan Murail. Il entre au CNSM de Paris dans la classe de Michael Levinas la même année où il obtient un premier prix d’analyse deux ans plus tard. Aujourd’hui doctorant sous l’égide de Jean-Marc Chouvet, sur la généalogie de l’idée en musique.
La musique classique, contemporaine, le jazz, la musique indienne qu’il étudie avec Biplab Battacharia à Calcutta et l’improvisation libre marquent profondément son jeu de percussionniste. On le retrouve aussi bien sur la scène du jazz moderne (Yves Robert, Sylvain Kassap, Joe Rosenberg…) que dans l’improvisation libre (duo Calx avec Jean-Luc Guionnet, Hubbub…), la musique contemporaine (travail de composition) ou la scène rock alternative ( Tempsion, BIG avec Frederick Galiay).
On compte aujourd’hui à son actif une quarantaine de disques sur de nombreux labels du monde entiers. Il a créé Quark-Records, son propre label en 2005, sur lequel paraissent les albums du trio Das Kapital avec Hasse Poulsen et Edward Perraud.
Depuis 2005, il est devenu important pour lui de participer à des projets plus vastes ne touchant plus la seule musique.Il est d’ailleurs musicien et comédien dans une pièce de Jan Fosse mise en scène par J.-C. Blondel avec Michel Baudinant et Laurence Mayor.
Il rencontre le cinéaste Nicolas Humbert (Step across the border) avec qui naît le projet itinérant Wonderland qui voit le jour en 2006 avec les musiciens Daniel Erdmann et Hasse Poulsen aux côtés des cinéastes Nicolas Humbert et Martin Otter. Depuis dix ans, il a eu l’opportunité de jouer avec de nombreux musiciens des scènes européennes et américaines tels que Paul Rogers, Dan Warburton, John Butcher, John Edwards, Johannes Bauer, Bernard Lubat, Michel Portal, Vincent Courtois, Daunik Lazro, Jean-Luc Cappozzo, Didier Petit, Camel Zekri, Lucias Recio, Olivier Benoit, Peter Scherr, Marc Helias, Itaru Oki…
Batteur, percussionniste, compositeur, improvisateur, chercheur et partisan du don de soi, Edward Perraud revendique un parcours loin des chapelles où tout doit être possible.


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Arno Bertina et Julia Cima

 

le Pot aux Roses, poésie, QuimperArno Bertina

Né en 1975, Arno Bertina est l’auteur de Le Dehors ou la migration des truites (Actes Sud, 2001) et Appoggio (Actes sud, 2003), second volet d’un triptyque romanesque clos par Anima motrix (Verticales, 2006). Je suis une aventure, son quatrième roman, est paru en 2012 (Verticales).

Il est par ailleurs l’auteur de récits, dontMa solitude s’appelle Brando, Verticales 2008.

Ancien pensionnaire de la villa Médicis et membre du comité de rédaction de la revue Inculte, il a prolongé ces expériences collectives au sein de livres comme La borne SOS 77 ou Numéro d’écrou 362573 (Le bec en l’air, 2009 et 2013).

Il écrit des dramatiques et adapte des classiques pour la radio (France-Culture), dont Sous le volcan, de Malcolm Lowry, ou Les Démons, de Dostoievski.

 

juliacima.jpgJulia Cima

Née en 1975, Julia Cima est diplômée du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris.

Elle est interprète auprès d’Odile Duboc pour Trois boléros, puis accompagne durant onze ans, le travail de Boris Charmatz : Aatt enen tionon, Herses (une lente introduction), Con Forts Fleuve, héâtre-élévision, Régi et Quintet cercle.
Au sein de l’Association Edna, dirigée par Boris Charmatz, Julia Cima participe à une série d’évènements performatifs :
Confrontations, Education, Statuts. Elle commence alors un travail d’improvisation dans des endroits et des contextes très variés.

En parallèle de cette longue collaboration, elle travaille avec Gilles Touyard (Programme court avec essorage), Myriam Gourfink (Uberengelheit), Alain Michard (Virvoucher), Benoît Lachambre (Tracer), Elisabeth Schwartz (Les plis du temps) et Laure Bonicel (Le bleu est à la mode cette année / Panoplie).
Elle anime également une série d’ateliers pour danseurs amateurs durant deux ans.

En 2005, elle crée Visitations, spectacle constitué de solos découverts pour la plupart dans les archives de la Cinémathèque de la Danse à Paris, qu’elle choisit et interprète seule. Elle tourne ce spectacle en France et à l’étranger jusqu’en 2008.
Elle entame alors un travail plus personnel, axé prioritairement sur l’interprétation.

L’auteur et metteur-en-scène Gildas Milin l’engage comme comédienne pour sa pièce Machine sans cible. Cette rencontre l’encourage à travailler dans plusieurs domaines de l’interprétation : danse, théâtre, chant.

Dans la continuité de ce travail de comédienne, elle crée avec Denis Lavant Brut de lettres, pour le Sujet à Vif 2008, dans le cadre du Festival d’Avignon.

Guy Walter, directeur des Subsistances à Lyon, lui commande pour le festival ça valse ! (oct 2008), une courte pièce sur des valses viennoises célèbres. Cette proposition, appelée Je suis enchantée, en duo avec le comédien Marc Arnaud et la participation de l’auteur Olivia Rosenthal, mêle un travail de texte et de corps.

Julia Cima entame une collaboration avec Mathilde Monnier en 2008 (reprise de rôle pour 2008 Vallée et Tempo 76, puis création de Pavlova 3'23) tout en poursuivant son travail personnel : Danse Hors-Cadre (2009), POEM (2010).

Elle enseigne depuis 2010 le travail du corps au élèves de l’école du Théâtre National de Bretagne, dirigée par Stanislas Nordey.

Julia Cima crée son association IMA & Co en 2012 et l'implante en Bretagne.Dans cette perspective de développement créatif, elle est associée au Triangle (Cité de la Danse à Rennes) de septembre 2012 à juin 2013, et créé sa pièce RINGS dans le cadre du festival "Mettre en scène" en novembre 2012.
Elle est par ailleurs artiste soutenue par le Résodanse (au bout du monde !) mis en place par l'association basée à Rennes, Danse à tous les étages !
Le Résodanse a co-produit la
Conférence dansée sur le grotesque, créé en septembre 2012.

Julia Cima est aujourd'hui artiste MODULDANCE jusqu'en 2014, réseau européen accompagnant et accueillant des artistes en résidence dans le but de créer une oeuvre.
http://www.modul-dance.eu/

 


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