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15/02/2017

Abdallah Zrika

 equivoxes, zrika, quimper, pot aux rosesAbdallah Zrika  est un poète marocain, il publie en 1977 Danse de la tête et de la rose. Pour la jeunesse marocaine, Abdallah représente l’idéal, la poésie, la liberté de vivre et de dire. Son engagement lui vaudra la destruction de ses poèmes et la prison pendant deux ans. Depuis, il poursuit une œuvre osée et impétueuse et compte parmi les auteurs de langue arabe les plus écoutés au Maroc. Il lira ses textes en arabe dont la lecture en français sera assurée par le comédien Emerick Guezou. Il sera accompagné par la chanteuse arabo-andalouse Touria El Hadraoui et des musiciens ...

 

Bibliographie

  • Insecte de l'infini, Editions la Différence, 2007

  • La Colombe du texte, traduit de l'Arabe par l'auteur, coll. "Le Refuge", cipM, 2003

  • Échelles de la métaphysique, traduit de l'arabe par Bernard Noël et l'auteur, L'Escampette, 2000.

  • Bougies noires, poèmes traduits par Abdellatif Laâbi, La Différence, 1998.

  • Petites proses, traduit de l'arabe par l'auteur, L'Escampette, 1998.

  • Rires de l'arbre à palabre, poèmes traduits par Abdellatif Laâbi, L'Harmattan, 1982.

Audio, vidéos :

entretien à la Maison de la poésie de Rennes en 2014

je ne sais pas, vidéo poème, nov 2016

J'ai vu la lettre en forme d'homme, Is Théâtre, Emerick Guézou

Bougies noires, le Matricule des Anges

Échelles de la métaphysique

 

 

21/03/2014

Jacques Rebotier et Edward Perraud

 

le Pot aux Roses, poésie, QuimperJacques Rebotier

Poète, Jacques Rebotier a notamment écrit : Sortir de ce corps (Créaphis), Le moment que (Spectres familiers), L'attente (Æncrages) Le désordre des langages, 1, 2 et 3 (Les Solitaires intempestifs), L’empierreuse, (Harpo et) , Litaniques (Gallimard), Le dos de la langue (Gallimard).

Son Théâtre est publié aux Solitaires intempestifs.
Auteur et metteur en scène, Jacques Rebotier fabrique des spectacles dérangeants et joyeux qui allient une écriture exigeante au sens de l'insolite, ou plutôt de l'"incongru": ce qui refuse de se mélanger.
Il a fondé la compagnie voQue: voix, invocation, équivoque aussi.

Y circulent, par dessous les frontières, poésie, roman-photo, lecture-performance, théâtre-installation, danse, musique.

Derniers spectacles :Réponse à la question précédente, La vie est courbe, Théâtre de l’Athénée, Vengeance tardive, .Théâtre national de Strasbourg, Eloge de l'ombre de Tanizaki (mise en scène), Théâtre des Amandiers, (Voir plus haut), spectacle de cirque-théâtre, Chalons-en-Champagne, Avignon, Zoo-musique, Grenoble, Frontière-frontière, Forbach-Saarbruck, Le théâtre des questions, utopie-spectacle.en cours dans de nombreux pays.

Dernières œuvres musicales Plages, La musique adoucit les sons, Requiem, 66 Brèves pour 66 instrumentistes, Chants de ménage et d’amour.

Edward Perraudle Pot aux Roses, poésie, Quimper


Une frénésie de jouer, dans le plus pur sens du terme, une soif de musique et de création qui le conduisent à embrasser tous les genres, sans a priori.
Il commence la guitare à l’âge de huit ans, puis apprend le trombone et la percussion classique au CNR de Rennes. Après une maîtrise de musicologie à l’Université de Rennes, il s’intègre dès 1996 le cursus doctoral de l’IRCAM avec Hugues Dufour où il obtient un DEA (EHESS/ENS/IRCAM) concernant l’analyse de la musique de Tristan Murail. Il entre au CNSM de Paris dans la classe de Michael Levinas la même année où il obtient un premier prix d’analyse deux ans plus tard. Aujourd’hui doctorant sous l’égide de Jean-Marc Chouvet, sur la généalogie de l’idée en musique.
La musique classique, contemporaine, le jazz, la musique indienne qu’il étudie avec Biplab Battacharia à Calcutta et l’improvisation libre marquent profondément son jeu de percussionniste. On le retrouve aussi bien sur la scène du jazz moderne (Yves Robert, Sylvain Kassap, Joe Rosenberg…) que dans l’improvisation libre (duo Calx avec Jean-Luc Guionnet, Hubbub…), la musique contemporaine (travail de composition) ou la scène rock alternative ( Tempsion, BIG avec Frederick Galiay).
On compte aujourd’hui à son actif une quarantaine de disques sur de nombreux labels du monde entiers. Il a créé Quark-Records, son propre label en 2005, sur lequel paraissent les albums du trio Das Kapital avec Hasse Poulsen et Edward Perraud.
Depuis 2005, il est devenu important pour lui de participer à des projets plus vastes ne touchant plus la seule musique.Il est d’ailleurs musicien et comédien dans une pièce de Jan Fosse mise en scène par J.-C. Blondel avec Michel Baudinant et Laurence Mayor.
Il rencontre le cinéaste Nicolas Humbert (Step across the border) avec qui naît le projet itinérant Wonderland qui voit le jour en 2006 avec les musiciens Daniel Erdmann et Hasse Poulsen aux côtés des cinéastes Nicolas Humbert et Martin Otter. Depuis dix ans, il a eu l’opportunité de jouer avec de nombreux musiciens des scènes européennes et américaines tels que Paul Rogers, Dan Warburton, John Butcher, John Edwards, Johannes Bauer, Bernard Lubat, Michel Portal, Vincent Courtois, Daunik Lazro, Jean-Luc Cappozzo, Didier Petit, Camel Zekri, Lucias Recio, Olivier Benoit, Peter Scherr, Marc Helias, Itaru Oki…
Batteur, percussionniste, compositeur, improvisateur, chercheur et partisan du don de soi, Edward Perraud revendique un parcours loin des chapelles où tout doit être possible.


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